Drôme
j'espère que votre santé est rétablie ; en tous cas, les journaux vous disent à Paris.
Par courrier séparé, je vous envoie un recueil de mes poèmes postérieurs à l' "Effraie" ; vous (et Marcel Arland à qui s'adresse aussi, bien sûr, cet envoi), vous jugerez s'il y a de quoi faire un livre. Certes, ce n'est pas du tout ce que je rêve ; mais c'est ce que j'ai fait, il faut bien que je vous le donne tel quel.