Le 31 [1956]
Cher Jean
À cette veille de départ, je me sens bien fatigué. Je voudrais vous demander de considérer ce mot comme un petit adieu à Pierre [Lonet?]. Au moins, pour quelques mois. Et je vous remercie de m’avoir confié cette chronique des revues, que j’ai faite jusqu’à ce jour, pour
Toujours fidèlement à vous
Georges