Allevard, le 14 [1951
Cher Jean,
On m’a donné, aux Ed. de M., votre adresse de vacances. Je suis désolé d’être sans autres nouvelles de vous.
Je continue, ici, un petit roman auquel j’ai pu travailler à Cerisy. Qui me renseignerait, me documenterait sur certain coquillage chinois ; mon roman se construit sur un tel modèle. Plusieurs personnages s’exposent longuement, légèrement, sans trop d’égards pour d’autres qui interviennent à leur
Quand rentrez-vous, ou pourrai-je venir à Sceaux, vous voir au début de septembre.
Fidèlement à vous
Georges
Allevard (Isère)