Royaumont, le 2 août 1950
Cher Jean
Je suis plus calme ; j’ai commencé un travail dont je vous parlerai. Votre lettre m’a fait du bien. Ne vous ai-je pas donné le sentiment de m’être indécemment laisser aller ? Le Winckelmann et le Léonard de Walter Pater me ravissent. Relu aussi certain Mérimée, des lettres fort belles qui animent les choses.
Avec me profonde affection
Georges.