Je n’ai pas de chance, et vous non plus : vous avez toujours, dans vos vacances, de tristes histoires d’animaux à me raconter.
Je répondrai avec plaisir à votre invitation, depuis le temps que je vous ai vu. J'ai eu deux ou trois fois l’idée, cet été, d’aller vous dire bonjour, un dimanche, le scrupule de vous tomber dessus sans crier gare, m’a retenu.
Toujours charmant avec votre invitation de quelque chose pour la N.R.F. Je n’y comptais plus.
Mes cordiaux hommages à Madame Pascal et ma sincère amitié pour vous.