L'attention me touche, cher ami, et je vous remercie d’avoir pensé à moi pour cette « brillante » réunion. (- « Tous, des élites ! Comme dit mon jardinier, en parlant des amis qui vienne me voir ici...) Mais, vous le voyez, je m’attarde dans ma solitude, encouragé par cette douceur printanière ; et, seule, mon amicale pensée sera avec vous le 17 !
Suis curieux de voir ce que vous appelez une « revue de propagande » exceptionnellement « indépendante »...
Affectueusement à vous, et tous mes regrets reconnaissants,