10, RUE DU DRAGON
PARIS (VIEME)
(Ceci est peut-être un double. J'ai dû perdre l’enveloppe à vous destinée, en faisant des courses ; car je ne l’ai plus, et suis sûr de ne pas l’avoir mise à la poste. Mais, comme elle était timbrée, une bonne âme peut-être l’aura recueillie et expédiée? )
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Je vous remercie de votre réponse. C'est tout ce que je souhaitais savoir. Aucun de nous ne vous a autorisé à publier ce fragment de « Et nunc... » ; et vous n’avez même pas jugé bon de consulter l’un ou l’autre d’entre nous sur l’ « heureux » choix que vous aviez fait, ni sur l’opportunité de mettre précisément ce texte-là, bien en vedette, pour couronner le recueil d’hommages. Vous êtes le seul responsable, par conséquent, de cette choquante bévue... Dont acte. (Mais,
Quant au droit de libre reproduction, j’ignore si la loi vous permettait de vous passer du consentement de l’auteur (lequel, dans le cas présent, est représenté par le groupe des exécuteurs testamentaires.) Je sais seulement que, chaque fois qu’un extrait de mes livres a dû figurer dans quelque anthologie, en France ou ailleurs, on m’a demandé de donner, par écrit, mon autorisation ; et personne n’a jamais passé outre à un refus de ma part. Est-ce par crainte de la Justice ? Ou simplement par un sentiment d’élémentaire correction ?
Je reste amicalement vôtre,