Ah oui, cher ami, je suis consterné. Et bien plus que vous n’imaginez.
Je l’étais déjà avant d’avoir reçu votre lettre. Car, en corrigeant les épreuves e ce passage pour l’édition, j’avais tiqué sur un tas de choses très fâcheuses, et j’avais fait d’assez sérieux remaniements. Désespéré, j’étais, de ne pouvoir en faire bénéficier le texte livré à la Revue.
Et voilà que j’apprends que c’est pire encore ; qu’on n’a même pas tenu compte de mes corrections !
Curieux ; tout de même, que ces histoires-là n’arrivent jamais qu’avec cette chère N.R.F. ! J'ai des fragments dans Europe, dans la Revue de Paris,
[lettre incomplète]