Je me trouve connaître Raoul Busquet autour d’un roman récemment paru chez Ferenczi : La misère enchantée. C'est un documentaire, petit-bourgeois, avec des qualités (de tenue littéraire, de sobriété...) La N.R.F rendu souvent compte de livres qui ne valent pas celui-là, après tout. SI un coup de pouce directorial pouvait glisser ce volume dans la serviette d’un des mystérieux serviteurs de la « Revue des Livres », vous rétabliriez un peu de justice en ce monde... Je n’insiste pas...
Le susnommé [va]