Mais où commence le « tas de sable » ? Où commence la « masse Thibault » ? Pour moi, un volume comme « La mort du Père » n’est pas trop un « fragment »… Ou du moins l’inconvénient de la fragmentation y est réduit à un minimum.
Ne me croyez pas modeste. Pas assez ! Si j’étais modeste, je ne me serais pas enlisé quinze ans dans ces sacrés Thibault. Mais je le
Bien vôtre, cher et spécieux ami !
En attendant que je vous envoie des sonnets, liriez-vous des poèmes d’une amie belge, pour en choisir éventuellement à publier dans la N.R.F. ?
Je m’entends mieux aux êtres qu’aux poèmes. L'amie est poète, incontestablement.