Voilà la réponse de Robert de Beauplan. Si vous vous décidez, adressez-vous directement à lui, en lui rappelant sa lettre ; ou bien… prévenez-moi pour que je serve d’intermédiaire. Mais le mieux serait de vous entendre avec lui, sans le détour de Nice.
Je pense bien plus souvent à vous que je ne le laisse voir ! Les nos de février et de mars de la N.R.F. étaient farcis de choses succulentes. On goûte mieux ces copieux repas quand ils vous sont servis en exil, loin de tout. Je fais décidément mes délices de ceux d’Eleuthère. Sa collaboration à la revue, qui apparaît sans cesse sous la trame et les choix, est toujours excellente. Le 1er n° de Mesures est imposant. Je vous admire : quelle tâche d’assurer le recrutement de textes dignes de si belles marges… Commerce et Vigiles sont morts à cette tâche-là ! Mais
Bonne chance avec l’Illustration ! Bonne chance pour tout ! Unissons nos prières pour que le lustre européen, si mal accroché, si branlant, ne nous tombe pas sur la tête. Hommages et amitiés également fidèles.
Et bien vôtre,