Merci. Rien ne peut m’être plus utile que de m’entendre dire ces choses-là, en ce moment, et par des hommes comme vous. Je sais, pardieu, bien que c’est un rare privilège de pouvoir penser « librement ». Mais il y a des jours, des saisons, où l’esprit, embouteillé, s’abîme dans tout cet inextricable ; et où l’on souhaite lâchement d’être canalisé dans sa marche ; de trouver quelque part le poteau « sens unique », qui supprimerait la douloureuse, l’angoissante hésitation…
Bravo pour l’admirable numéro consacré à Goethe. Un monument, comme ils disent. Et c’est, ma foi, vrai. Je me disais, en le lisant, que c’est là le rôle,
Je vous serre les mains, très affectueusement, et… en confiance !
(le silence de la N.R.F. sur le livre de Maurice Martin du Gard : « Courrier d’Afrique », est si obstiné, si inattendu, qu’il doit bien avoir une signification de petit manifeste. Mais laquelle ? Je me perds, une fois de plus, en conjectures...)