BELLÊME
TEL. 28 ORNE
J'apprends votre deuil avec une emotion qui me fait mieux encore sentir que je vous suis très attaché. Je sais combien cruelles, ces séparations ! Quelque chose d’intime, de nécessaire, se décroche, quand on perd ses parents. N'être plus « le petit » de quelqu’un… Le rideau tombe sur un passé mort.
Les mots sont de pauvres messagers. Mais si ma sympathie vous était de quelque douceur dans votre peine, mon cher ami, dîtes-vous bien qu’elle est profonde, qu’elle vient du cœur et cherche le vôtre, avec une grande compassion !