Cher ami. Laissez d’abord que je me réjouisse avec la N.R.F. de cette merveilleuse aubaine, et que je vous félicite d’en avoir été, si je puis dire, le canal !
Vous avez raison de penser que je suis maintenant trop fixé dans l’Orne pour pouvoir songer à profiter jamais de votre merveilleux asile. Je vous remercie néanmoins de m’avoir prévenu et de m’avoir ainsi prouvé que vous ne me teniez pas pour indésirable dans votre combinaison ; c’est une preuve d’amitié dont je sens tout le prix. Il reste cependant que, sans être personnellement intéressé
Je m’en voudrais de confisquer le plan tentateur et suggestif ; je vous le renvoie, avec mille compliments. Ce fort de la Vigie est un lieu unique au monde. Il me plaît que votre N.R.F y fasse flotter son drapeau !
Tout vôtre