Je suis désolée de vous savoir malade. J'espère que vous allez être vite guéri. Je sors à peine d’une grippe.
Que j’ai été contente de voir ma vierge si bien imprimée, c’est plus qu’elle ne méritait ! Je vous retourne les épreuves corrigées.
Je n’ai pas encore un jeu complet de secondes épreuves d’Ullysse, mais je pourrais vous envoyer ce que j’ai : tout, sauf le dernier chapitre, c’est à dire le mon. int. de la « hideuse femelle sans accents », comme dit Gide. Voulez-vous que je fasse porter ça à la N.R.F. ?
À bientôt, j’espère. Sylvia et moi envoyons à Germaine et à vous de très grandes amitiés et nos meilleurs vœux de santé, de richesse et, en général, de bonheur.