Je n’ai appris que récemment, par Julien Benda, la mort de votre mère. J’en ai eu une grande peine.
Karin Pozzi m’avait dit, de Nova et de Scopolamine, « vous les publierez après ma mort ». Je le ferai volontiers. Voulez-vous me prêter Vale, Maya et Nyx. Je tâcherai d’obtenir que Gaston Gallimard les donne en une plaquette.
Karin Pozzi me parlait souvent du traité métaphysique qu’elle avait entrepris, et dont elle avait achevé une partie
Recevez, je vous prie, mes meilleurs sentiments.
[enveloppe postée à Chatenay-Malabry]
Monsieur Claude Bourdet
47, avenue d’IénaParis