Jugez vous-même : M. Orengo ne répond pas à ma lettre, et se dit absent quand je le demande au téléphone. Cependant, il laisse d’autre part entendre à Claude Elsen que c’est par ma faute qu’il a dû lui retirer une chronique dont Elsen a besoin pour vivre…
Ce sont là des façons bien étranges, et je ne puis croire que vous les approuviez, vous directeur d’Opéra . Je suis vôtre, cordialement
[note : lettre de Jean Paulhan, qui ne semble pas adressée à Claude Elsen]