Monsieur Panaït Istrati
C/o Monsieur Ionescu
24, rue du Colisée
Paris
J'ai donné le Lac SaléLa Nouvelle Revue française, février 1935, p. 232-257.
De tous côtés, on m’en parle avec beaucoup d’amitié, ou d’enthousiasme.
(Dites-moi où je dois vous faire envoyer les mille francs que vous doit la N.R.F.)
Quand vous reverra-t-on ?
Je vous serre bien amicalement les mains.
Je serai bien heureux d’apprendre que vous avez enfin éclairci la situation Rieder. Méditerranée m’est restée sur le cœur
Comment allez-vous ? Je voudrais bien recevoir une lettre qui me l’apprenne.