[Lettre en-tête 29, avenue Jean Jaurès Chatenay-Malabry (Seine)]
Vendredi Bien chère amie,
Ce qui me frappe dans le BonheurMarie-Anne Comnène, Le Bonheur (Gallimard, 1932). c’est la qualité du détail : peut-être fallait-il, dans Rose ColonnaMarie-Anne Comnène, Rose Colonna (Gallimard, 1930)., une page pour éprouver ce que nous donne à présent une ligne ou un mot. Je crois que vous pénétrez enfin jusqu’à votre style.
Je vous en parlerai mieux. J’ai demandé à Henry DérieuxLe poète Henry Dérieux (1892-1941). Voir lettres de B. Crémieux à Jean Paulhan, 26 janvier 1932 et 5 septembre 1932,qui est sensible et fin, de parler à la fois dans la nrf, de Rose, de Violette et du Bonheur. Il doit les aimer. Ne voulez-vous pas que nous donnions son étude sans la lire ?
Beaucoup d’amitiés pour tous deux.
J.
[Enveloppe non timbrée et sans cachet de la poste, datée 33/34Rajouté à la main par quelqu’un. et adressée à]