Il faut que vous nous pardonniez ; mais nous nous sommes tout à fait embrouillés, Germaine et moi : l’un comprenant que nous dînions avec vous jeudi au P. Cl, l’autre que nous dînions chez vous mercredi. Tout s’est découvert quand il s’est agi d’avertir des cousins (à qui nous avions fermement promis soit le mercredi, soit le jeudi). Alors dis-nous le plus tôt possible lequel tu choisis pour nous, de l’un et de l’autre jour : nous ne pouvons pas, à notre regret, nous dégager pour les deux : nous en sommes bien ennuyés.
J'oublie toujours de te donner tes biblioph. du Temps retrouvé, qui t’attendent à la revue. (à la place de ceux qu’on aurait dû te donner pour Albertine)
Je lis Vasco, qui me semble terriblement médiocre. Tu n’en diras pas trop de bien ? Je t’en prie, n’arrête Prévost que si tu peux me donner sûrement, pour le n° de janvier (c’est-à-dire, à cause des fêtes, avant le 9 déc) La NRF de janvier 1928 contient de Benjamin Crémieux des notes sur Le Temps retrouvé, p. 113-118, sur Montclar par Guy de Pourtalès, p. 122-123, et sur Vasco, par Marc Chadourne, p. 121-122.Montclar et Vasco. Il est déjà très ennuyé que nous parlions du Temps retrouvé après tout le monde. En février, ce serait ridicule. Quant à Montlcar, dis tout ce que tu voudras, mais dis-le.
C'était très bien, samedi. Non ?