J’ai pris grand plaisir à lire Heure chaude à Djibouti. Tout votre récit est aisé, allant, souvent surprenant (et même, de loin en loin, fort instructif). On passe de l’enquête sociale à l’aventure amoureuse et de cette aventure au drame familial sans gêne ni embarras. Et votre Ethiopienne est saisissante de vérité.
Je le remets à Gaston Gallimard.
J’espère que la décision ne tardera pas.
à vous, affectueusement
Merci de votre invitation à déjeuner. J’accepte avec grand plaisir, bien sûr. Est-ce que le samedi 14 vous conviendrait ?