Au dernier moment, il m’a fallu renvoyer le Tableau de la P. Impossible décidément de faire aller ensemble les poèmes-témoignages, et les poèmes-poèmes. Cela doit faire 2 ttableaux distincts (le premier : poètes inconnus, poètes du Dimanche, etc. - le second, où il nous faudra avoir Claudel, Valéry, Éluard etc. et auquel je vous demanderai de collaborer.) Mais j’ai dû en même temps renvoyer votre chronique à Octobre. Pardonnez-moi de vous avoir ainsi pressé.
Jouhandeau est ici, depuis quelques jours. Un vérittable mur de brume nous a séparés des côtes, de la mer et de l’été. Quand il s’est dissipé, l’on a aperçu d’abord de grands incendies de forêts, vers Hyères. Les cendres viennent jusqu’ici, et l’odeur de pin.
Peu d’insectes.
Je presse Paillart
Amitiés de nous deux à Cassilda et à vous
La Vigie. Port-Cros (Var)
je travaille, moins que je ne voudrais. (Et ce bouleversement du numéro a tout compliqué terriblement.)
Pour Breton : merci. Je n’attendais rien d’autre ; mais il me semble qu’il fallait faire la démarche. Merci encore.