Je vous rends la lettre de Wahl. Merci.
Stupéfait de son opinion sur Montherlant. Est-ce que vraiment M. c'est quelque chose ? (il me donne toujours l'impression d'un décor, d'un panorama, d'une exposition coloniale — baraque des Lettres Pompeuses.)
Si vous me donniez quelque jour une chronique sur la Littérature et l'occultisme de Saurat ? (Je doute que Saurat comprenne très bien ce beau livre.)
Viendrez-vous vendredi ? Oui, n'est-ce pas ? A vendredi donc
J.P.
Il serait bien intéressant, et nécessaire peut-être, de nous réunir une fois - pendant un, deux jours, (avec Daumal, s'il le voulait) - de nous faire des lectures, de discuter, de tenter de confronter tout ce que nous savons.
lundi.
Je suis ennuyé que vous renonciez au Léger. (Croyez-vous que Bruguière... ?)
Vous me donnez deux pages sur Audiberti, n'est-ce pas. J'y compte absolument. Seulement, je voudrais bien les avoir avant le 13.
Votre ami
J. P.
Je vais mieux, mais je ne crois pas que je puisse sortir avant deux ou trois jours.