Vous êtes un ami adorable et votre petit mot m’a beaucoup touché. Non, ce qu’a François n’est paraît-il pas grave. Le spécialiste de Lyon auquel le petit docteur vous a adressé dit qu’une culture physique approprié suffira à redresser et maintenir cette colonne vertébrale qui a l’air de s’infléchir de manière inquiétante. Je vais [mots illisibles] chez un kinésithérapeute et j’apprendrai à lui faire faire des mouvements dont elle a besoin.
Leurs vacances dans la neige ont été gaies et joyeuses. Ils ont beaucoup skié et dansé.
Paul est parti le jour de la Noël. Je ne sais si j’irai le rejoindre. Mes 40 kilos (où m’arrêterai-je ?) m’interdisent la moindre fatigue. Mais Dieu que la solitude doit peser à mon solitaire de mari ! A moi aussi d’ailleurs mais je n’ai rien d’une solitaire.
De toute façon je viendrai à Paris sûrement et je serai heureuse de vous voir, chez Jean.