Je fais état de partir, pour Paris dans le courant du mois de Janvier.
Je ne sais trop comment je vais m’arranger pour y vivre. Mais il fallait bien que je me décide à partir de ma cambrousse. Oui, que je brusque l’aventure – même sans avoir mis le point final aux divers travaux que tu sais.
(Faute de quoi je n’en serais plus sorti vivant...)
Je crois que seul l’AIR de Paris pourra me donner le coup de fouet indispensable....
Dans l’ensemble, je suis content. Tout cela tient admirablement. Mais que de peines, Seigneur, que de misères et que d’horreurs !
(Je me suis cruellement reconnu dans le portrait que tu fais de l’ »Homme Egaré » Oui, pas moyen de s’y méprendre. J'en ai perdu le sommeil durant trois semaines)
De « l’homme Egaré » je suis passé à tes autres livres que je ne connaissais pas du tout.