4, Blackburne Terrace
Liverpool
Merci bien de ta lettre et la carte. Je n’ai pas le temps à présent de t’écrire beaucoup.
Voici le récit, c’est à peu près à l’heure n’est-ce pas ?
J’ai presque honte de te l’envoyer. Je le sens faible et peu de choses pour intéresser d’autres personnes que moi. Quand je pensais à te l’écrire à Windermere, c’était pour te faire comprendre un peu les choses qui [tenaient ?] et me préoccupées [préoccupaient] là-bas.
J’ai lu la lettre de R[ainer] M[aria] Rilkela NRF (pp. 131-136), Jean Paulhan présentait le texte de Rilke intitulé Lettre à une amie.
Le pauvre Orsoà derrière d’ours » (Lettre de Jean Paulhan à Francis Ponge, jeudi [septembre 1925], Correspondance, Tome I 1923-1946, pp. 55-56).
Je tâcherai de te’écrire bientôt.
Je vous embrasse bien tout [tous] deux.