Ne vous en faites pas trop à mon sujet. Je suis maintenant en convalescence. Un peu faible, ce qui ne m’empêche pas de vous envoyer mon article tout de même, un peu tard. Mais cela vaut mieux que d’avoir un trou dans la NRF.
Voilà d’ailleurs les vacances et je vous verrai certainement à Paris. Merci des nouvelles que vous m’envoyez. Je constate que la vie littéraire a été calme pendant mon absence. Je suppose qu’elle attend mon retour pour reprendre à son tour, bien que l’article que je vous envoie ne témoigne pas d’une confiance bien grande.
Vendredi me paraît devenir un peu vainement oratoire. Il clame. J’ai appris par Bopp l’explosion de la NRF. Pour la publicité, quel dommage que ce ne soit pas un attentat !
A vous bien cordialement