Je te donnerai une chronique Jeudi prochain.
Et vers la fin du mois, je te lirai les 4 récits que j’ai écrits (l’un d’eux d’une cinquantaine de pages, les autres de dix). Ce sont ceux-ci que je corrigerai d’abord. Si tu en veux un pour la revue, il faudra que tu me dises (à peu près) pour quel numéro.
Le mois prochain, je ne ferai pas de chroniques ; simplement des notules.
Oui, ce n’est pas une critique de critique, que je fais ; plutôt, sans doute, une critique de romancier ; plutôt, j’espère, une critique d’homme (et d’homme faible, je le veux bien).
La lettre de Dabit m’est assez pénible.