Ce qu’il faudrait que tu me dises, le plus nettement possible, c’est si je ne ferais pas mieux de laisser ce livre, et d’en écrire un autre. - S'il ne doit donner qu’une oeuvre honorable, non une oeuvre belle, je ne veux pas m’y remettre.
Tu sais qu’il n’y a que toi qui puisses me dire cela, et que tu dois être aussi sévère envers moi que tu le serais pour toi.
- Quand j’ai pensé à ce livre pour la première fois, j’en plaçais l’histoire en dehors du « cadre » du mariage. Ce qui m’a fait changer d’avis, c’est la méfiance d’un certain des éléments romanesques, et le désir de placer l’histoire dans les conditions les plus pures, les plus rudes. - Je me demande à présent si j’ai bien fait (à cause de l’apparence Chardonnienne).
À toi