Non, une plaisanterie de toi ne pourrait me fâcher. Car il me serait impossible de croire à une pensée inamicale.
Ta lettre me cause une vraie peine.
Que j’aie été maladroit, et sot, je ne le vois que trop. Je ne plaisanterai plus, puisque je ne sais pas plaisanter.
Si j’admirais moins ton art, je ne me serais pas permis cette boutade.
Je songeais à certaine « coquetterie » que tu as parfois (précisément, par exemple, dans l’emploi de l’on). Il est bien rare qu’elle ne me plaise pas : mais quand Lambrichs (par exemple – exemple éclatant) la reprend, l'accentue, la déforme, cela devient agaçant.
Cette histoire me navre, plus que je ne puis dire, me décourage un peu.
A toi