je vais « arranger » le Billy et le Béguin, pour en faire une petite note et une notule. (C’est un peu à cause d’Esprit, que j’ai parlé de Béguin ; je veux dire : c’est parce que nous ne parlions pas d’Esprit dans la revue des revues)
Bien entendu, j’avais songé à Edith Boissenas ; mais voilà près de deux ans que son dernier livre a paru. N’importe, j’introduirai son nom.
Oui, beaucoup de suffisance dans la note de Simon ; je lui demande (et lui indique) des coupures.
Schehadé a des admirateurs très passionnés, jusqu’à Tardieu, qui me parle de lui avec recueillement, avec dévotion.
Dhôtel ? Tu as raison. Mais ne nous engageons pas de façon absolue pour le second roman : réservons nous le cas d’une découverte.
L’article de Belaval me laisse froid. C’est un appareil qui fonctionne bien ; mais je ne vois pas ce qu’il produit (ici du moins) – mais qui ? Je cherche en vain.
- Oui, comment faire tenir tout cela en 192 pages ? Il faut prévoir des suppressions. Crois-tu que Léger accepterait que son poème parût en 2 n° ? Et d’abord crois-tu possible qu'il paraisse ainsi que le poème se prête à cette division ?
- Dhôtel (suite). Ne crains-tu pas que la signature de Boutang ne nous retire un tiers de nos collaborateurs ?
- Dhôtel (fin). Donc je pense, comme toi, qu’il faudrait, en principe, donner un roman de Dhôtel après le Giono. Mais à condition que ce roman fût l’un de ses meilleurs. Je le dis pour la revue, mais aussi pour lui, qui jouerait à une partie peut-être décisive, et qui se tirerait mal d’un échec.
- J’écris quelques lignes sur une abjecte émission de la radio. Je l’ai entendue hier ; elle était consacrée à Utrillo, que l’on bafouait (il ne pouvait pas parler : on lui demandait de chanter !).
Je t’embrasse