Donc, vendredi, 5 heures, à la revue.
Je n’ai pas lu le « Mauriac »; je ne le connais que par des extraits dans Combat.
S’il est tel que je le crois comprendre, mieux vaut ne pas répondre ; mais en ce cas dire dans la revue, sous notre commune signature, en deux lignes, quelque chose comme : « Nous tenons ces pages pour une ordure. Nous ne répondrons donc pas à M. Mauriac. »
Quant à un procès en diffamation, je ne connais pas assez l’article pour avoir déjà un avis là-dessus. Qu’en pense Gaston, et qu’en pense Maurice Garçon ?
Je t’embrasse
Oui, Miller au plus tôt, dans le prochain n° si c’est possible