Transcription Transcription des fichiers de la notice - Lettre de Marie-Anne Comnène à Jean Paulhan, 1958 Comnène, Marie-Anne (1887-1978) 1958 chargé d'édition/chercheur Société des Lecteurs de Jean Paulhan, IMEC, Université Paris-Sorbonne, LABEX OBVIL ; projet EMAN (Thalim, ENS-CNRS-Sorbonne nouvelle) PARIS
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1958 Fiche : Société des Lecteurs de Jean Paulhan ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l'Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)
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Ce mardi [1958 ? 1959 ?]Il s’agit plus vraisemblablement d’une lettre écrite après la parution de la NNRF de janvier 1959 (cf. ci-dessous)..

Cher ami

La NRF de janvierIl s’agit du numéro 73 de la NNRF parue le 2 janvier 1959. – le très humain ChardonneJacques Chardonne, « La vieillesse » (la NNRF, n°73, janvier 1959, pp. 28-31). et cet entonnoirEdith Boissonnas, « L’entonnoir » (la NNRF, n°73, janvier 1959, pp. 32-35). mystérieux…mélange de Mallarmé et d’Histoire d’O qui j’en ai peur ne fera pas avancer d’un pas la connaissance de l’univers invisible et cette affligeante controverse [un mot illisible] à qui il aurait peut-être mieux valu ne pas faire tant de publicité. Mais un ensemble richissime et de plus excitant pour l’esprit avec cet excellent FernandezDominique Fernandez, « La Semaine sainte par Aragon (Gallimard) » (la NNRF, n°73, janvier 1959, pp. 135-136). sur Aragon.

GiordanettiCf. lettre de MAC, PLH_125_020536_1958_12. dans son innocence – pas tellement innocente – m’a parlé [d’un] article que vous lui aviez fait lire sur Benjamin et que vous m’aviez promis aussi et il m’a parlé notamment de la fameuse lettre du moine basque à la lecture de laquelle mon frère indigné s’était écrié : que c’est bête les curés ! A vrai dire je me rappelle surtout cette indignation et j’ai un peu oublié la lettre du moine. Ne pourrais-je la relire ave ces études LalouL’écrivain René Lalou (1889-1960)., AudisioLe romancier et poète Gabriel Audisio (1900-1978) est également traducteur de l’italien., etc… que je vous rendrai comme il se doit. Dois-je aussi vous rendre tout de suite le précieux BlanchotCf. lettre de MAC, PLH_125_020536_1958_08.. Celui-là vous aime et peut-être vous connaît-il mieux que tous les autres.

A bientôt et toute l’amitié de

Marie-Anne