J’ai dû me faire beaucoup de tort avec mon texte de P.V. [Paul Valéry], et irriter une fois ceux qui me reprochent de ne pas observer les règles de la confrérie.
C’est d’autant plus sot que le texte n’est décidément pas bien choisi ; la pensée qu’il exprime n’est pas absolument banale et je pouvais, dans ses pensées son ouvre trouv et dans les pâmoisons qu’elles suscitent, trouver mieux.
A vous