On ne se voit guère. Ah, l’Occupation (comme disent les gens) avait du bon.
Tout de même, si parfois on déjeunait ensemble ? Vous me direz.
Il y a une chose que j’aurais bien voulu vous demander. René Purnal (de retour à Paris) aurait besoin – ne fût-ce que pour achever tranquillement les trois pièces (très belles) qu’il a en chantier – sinon d’un mécène, d’un emploi, d’un travail régulier. Si vous voyiez quelque chose…
Affectueusement