Ce qui me gênera toujours dans l’oeuvre de Dubuffet, c’est l’absence de générosité ; c’est une avarice qui veut donner le change. Il connaît – et peut-être en souffre-t-il – le caractère assez lugubre de sa parade. Saura-t-il pousser ce caractère jusqu’au tragique ? J’en doute. Trop sec, trop esthète.