Les notes. - Oui, il faut que nous les lisions, les jugions, les acceptions ou non, tous les deux.
Nous ne pouvons encore, pour le n° d’octobre, faire les 2 réunions de collaborateurs que nous avons prévues. Mais nous commencerons le mercredi 23 ou le vendredi 25, pour le n° de novembre.
Je comprends bien ce que tu me dis au sujet de Janine. Cela a commencé par une explosion de Chardonne, qui, voilà 5 ou 6 mois, a déclaré à Janine que je me tuais à la revue, que je n’étais pas aidé comme tu pouvais l’être par Dominique ; etc.. J’ai répondu, bien sûr, qu’il exagérait ; mais que tu « en faisais » beaucoup plus que moi. Mais il est vrai que je me sentais alors assez noyé. Et il est vrai que je prends mets parfois quelque complaisance à me plaindre, alors
Il est vrai enfin que je me suis quelquefois servi, comme excuses, comme prétextes, comme couverture, de réceptions, dîners ou voyages réclamés par la revue.
Mais cela va beaucoup mieux. L’aide que m’apporte Fr. [France] devient très efficace. Mon seul ennui, c’est que moi-même je ne t’aide pas assez. Cela vient peut-être de ce que nous n’avons pas assez de cohésion dans notre travail commun. Mais nous y arriverons.
Je t’embrasse