Cela va bien (grâce à l’absence de Fr. [France], mais je crois qu’elle rentre aujourd’hui). Le choix des notes est fait. Il ne reste plus que la correction des épreuves en mise en pages.
Comme le « grand » sommaire était un peu réduit (91 pages), j’ai allongé Le Temps, comme Cf., , qui comprendra 1° des poèmes de Mickiewitz (4 pages). 2° : La Lettre d’Amérique de Micha (7 pages), 3° :
J’ai donné comme poème celui de Dadelsen, d’abord parce qu’il est très supérieur à celui de Prévost, puis parce qu’il est long.
Comme « texte », Vigny.
Les notes sont variées. Nous n’avions pas de correspondance ; j’ai donc suscité une lettre (de Grosjean) ; elle explique à Jean Guérin que, dans sa note sur le P. Avril, il n’a absolument rien compris à l’Evangile, à l’histoire et à
Je voudrais que Dominique me permette 3 petites retouches dans sa note sur Les lions sont lâchés.
1° : « Cet agréable petit ttableau de mœurs », non, « ce petit ttableau... » suffit ;
2° : « Le dialogue… est spirituel et perfide » ; je préfèrerais : « se pique d’esprit et ne manque pas de perfidie ».
3° : « On s’amuse ». Moi, je me suis très ennuyé, et je ne suis pas le seul. Que Dominique dise : « Je me suis amusée » ; sinon, ne mettons rien, ce qui vaudra mieux.
Ce qui vaudra mieux, parce que, dans un genre qui devient très répandu et contre lequel nous devons réagir, ce livre est des moins beaux, et des plus vains.
Je t’embrasse
Blanchot parlera-t-il de Leiris ?
J’ai demandé des notes sur M Duras [Marguerite Duras] et sur Gadenne (Judrin ; Perros) ; j’en demanderai d’autres.
Et Dhôtel, lui as-tu écrit ?
Petite attaque (lettre d’un lecteur!) contre l’Histoire d’O, dans le dernier n° de La Parisienne. Au sommaire du même n°, Nourissier. Je vais me fâcher.