Oui, je crois que c’est là ce qu’il faut faire (demander à G. [Gaston] de la changer de service). Et je ne le dis pas sans peine ; car, dès qu’elle revient à une meilleure attitude, prend conscience de ce qu’elle a fait ou dit, et me demande un nouvel effort – je m’attendris, je prends pitié d’elle parce que je sais bien qu’elle est sa propre victime, et aussi parce que j’ai déjà tant fait pour elle… mais toujours, quoi que je fasse et quelque bonne volonté désintéressée que je lui montre, elle recommence. C’est plus fort qu’elle…
J’aimerais mieux que tu parles d’abord à Gaston – au besoin, si tu le juges bon, en
Cela, quand tu voudras – soit demain, soit lundi (pour qu’elle puisse passer ce week-end en paix.
Je t’embrasse.