Tu penses bien, Jean, que je tiens trop à ton travail et à ta santé pour ne pas faire tout ce que je pourrai qui les préserve.
Mais je voudrais que tu me dises exactement, et complètement, et un peu minutieusement, ce que tu désires.
Ce qui me semble nécessaire pour moi et pour la revue, c’est :
- que tu me conseilles.
- que tu m’aides auprès des collaborateurs que tu connais mieux que moi.
- que tu contrôles la revue ; que, pour chaque n°, je puisse te soumettre les textes, et les projets de sommaire – rien n’étant fait sans ton approbation.
- que tu écrives dans la revue.
De tout le reste : épreuves, lecture de manuscrits courants,
Mais je ne comprends pas comment, même si tu ne consacrais à la revue qu’un minimum de temps, tu refuserais d’y figurer comme directeur.
(j’écris ce mot en hâte, excuse-moi)
Je t’embrasse