je suis bien content que tu prennes du repos. Je le serai plus encore si ce repos profite à ton travail. Ce travail, même « particulier » (« privé ») est nécessaire pour la revue. - Ce que je dis pour toi, je le dirais aussi pour moi. Il est nécessaire que de temps en temps l’un de nous prenne un répit.
- Sur l’essentiel, ta lettre ne répond pas à la mienne. Il ne suffit pas, pour avoir raison, de dire que l’on a raison. Ce que tu me dis de Duvignaud, je le savais, je le lui ai à peu près dit, mais quand il a fallu réagir, c’est moi, ami de Duv. [Duvignaud], qui ai tout pris à ma charge (je n’ai cessé de lui dire que tu le soutenais de plus en plus) – Je vois très bien, trop bien,
Je t’embrasse