Je reçois une nouvelle lettre de France. Je lui réponds aujourd’hui, lui répète à peu près exactement ce que je t’avais dit. Cela m’est dur, très dur, de refuser son appel ; mais j’ai longuement réfléchi, et je tiens pour un devoir de le faire. Je lui écris donc que si d’elle-même elle ne [se] résout pas à quitter la revue, je demanderai à Gaston d’en décider, étant bien entendu que, si elle revient à la revue, je n’y reviendrai pas.
- Je fais tout mon possible pour corriger et recopier très vite ma Préface. Mais je ne puis guère travailler plus de cinq ou six heures par jour (ce que j’ai fait chaque jour, depuis que je suis ici). Cela sera prêt lundi, je l’espère – si tu m’as envoyé le début.
Les nouvelles sur Dom. [Dominique] nous inquiètent ; pourra-t-elle supporter ces comas de l’insuline ?
Je t’embrasse