Je serai, bien entendu, heureux de lire ton essai, et de t’en parler.
C’est un grand plaisir, et même un réconfort, que de savoir que tu travailles avec autant d’ardeur.
J’ai fait un choix de lettres (6) de Suarès à Rouault, et un choix dans les lettres de Rouault. Mme Suarès, à qui j’en ai parlé, approuvera ; quant au choix de fragments de Rouault, je l’ai communiqué à Isabelle. J’ai donné ces textes à comparer, d’abord parce que je suis à peu près sûr qu’ils sont bien choisis ; puis pour que [nous] n’ayons pas trop d’articles à donner à la dernière minute. Mais peut-être y en a-t-il un peu trop (21 pages) : tu jugeras.
Pourrais-je avoir ton essai pour lundi ? - Ce sera un beau numéro (Paulhan, Butor, Lubin, Thomas, Lufasco, Narayama – Rouault-Suarès – texte : Remizov).
Oui, ce droit d’entrée de 450fr au prix Valéry est pénible. Nous ne devons plus l’accepter.
Même sentiment que le tien sur l’attitude et les menées de Nourissier. Cela ressemble beaucoup à de la goujaterie. Et je crains que l’on ne puisse plus guère espérer un changement.
Quand au projet dont je te parlais (sur une partie du Temps comme) ce sera sans doute trop tard pour le prochain n°.
Je t’embrasse