Et ce qui donnerait aussi le change sur ta pensée, c’est que l’on dirait : « Voilà. Il ne perd pas une occasion de revenir sur de vieilles querelles. »
Aussi bien, que Sartre ait eu tort de se taire jadis, j’en suis convaincu. Mais non point que cet ancien silence, si déplorable qu’il ait été, lui impose de se taire aujourd’hui. Tu parles d’ « hypocrisie ». Le mot est gros, et grave ; je connais peu Sartre, mais je ne crois pas qu’on puisse le lui appliquer sans injustice.
Je t’embrasse