J’ai réfléchi à votre désir de donner dans la Revue un compte-rendu du discours du Dr Allendy au congrès homéopathique de 1932. J’ai pensé que mon ami le Dr Lancelot, homéopathe éminent et lettré remarquable, serait beaucoup plus qualifié que moi pour vous donner ce compte rendu – d’autant qu’il a pris lui-même une part active à ce congrès. J’ai eu l’occasion de voir le Dr Lancelot hier soir, et de le pressentir très éventuellement à ce sujet. Il m’a dit qu’il était à votre disposition. Si donc vous désirez
Gilbert Lecomte et moi-même ne pourrons malheureusement dîner avec vous mercredi prochain, et vous serions reconnaissants de reporter ce dîner au mercredi suivant 7 décembre, si vous êtes libre ce jour-là ; Nous en reparlerons d’ailleurs de vive voix. J’espère pouvoir passer demain à la Revue.
J’ai obtenu de Léautaud les Vers de collège de Rimbaud, mais aucun commentaires de sa part sur quoi que ce soit. Il paraissait très absorbé par le silence et le désert de son cabinet.
Il me serait extrêmement précieux, pour une raison que je vous expliquerai de vive voix, d’avoir le plus tôt possible, et en tous cas avant mardi
Je n’ai pas compris que vous puissiez l’autre soir, en arriver à me dire, au sujet de mes appréciations sur les poèmes que nous me montrez quelquefois : « Mais quels sont les poèmes que vous ne rejetez pas ! » Mais ceux d’Eluard, de Fargue, de Valéry, de Daumal, de Michaux, parfois de
Croyez moi mon cher ami bien votre