Voici les q. q. [quelques] pages sur l’image dont je vous ai parlé parfois. Je ne sais ce que vous en penserez. Les réflexions que j’élabore n’ont pas, logiquement, à prendre forme littéraire ; je m’y applique pour mon développement personnel, et j’ai toujours le sentiment d’accomplir un acte que bien peu de raisons peuvent excuser lorsque j’écris. Jusqu’à présent la meilleure de ces
Merci de ce que vous me dites au sujet de Daumal. Mais ne risquerions-nous pas de susciter entre nous et le Phare de Neuilly des conflits longs et compliqués que ne justifieraient pas les 40 frcs que nous pourrions obtenir de cette sorte à notre ami ?
Le Dr Saltas vous a-t-il répondu à propos d’Ubu-Roi ? Tenez-moi au courant.
Vous ne m’aviez pas mis de référencer sur l’article de Thérive. Le voici.
Madame Paulhan est-elle remise ? Je le souhaite. À bientôt mon cher ami,
Croyez-moi vôtre.
Les dernières lignes de « Parisiens de Belleville » ne sont-elles pas bien naïves ? La révolution ne laissera-t-elle pas aux poètes d’autres positions que la candeur (comme ici) ou la mauvaise foi (comme dans les Vases communicants). Je veux pouvoir penser qu’il existe aussi l’indifférence et l’esprit de sacrifice.