Merci. Mais pourquoi ne m’avez-vous pas renvoyé la note Schwab ? Je comptais bien la donner dans ce numéro.
Il va de soi que vous avez tout à fait raison. J'aime beaucoup le ton de votre note.
Ce que l’on offrait à Mussolini avant les négociations était plus que l’Angleterre n’a eu, pour commencer, au Transvaal, ni la France à Madagascar. Je ne pense pas que Mussolini ait, à ce moment, refusé par sadisme – mais, vraisemblablement à cause du prestige en soi d’une guerre, des souvenirs d’Adoua, (complexe d’infériorité italien, depuis Baratieri), etc. Pour le reste, ce que vous dites de l’économique est trop évident mais il y a aussi l’autre facteur.
À bientôt. Nous rentrons dans six jours. Amitiés à tous deux.