Voici la copie dactylographiée qui me reste de ma chronique sur Les Causes célèbres. J’ai reporté sur l’exemplaire, les corrections que vous avez bien voulu m’indiquer. (Elles ne figurent pas sur la présente copie qui ne reproduit que mon texte primitif.)
Je me permets de vous soumettre d’autre part quelques sonnets sur lesquels votre avis me sera, vous le savez, très précieux. (Vous connaissez vision par rapport à laquelle le sens philosophique doit tenir seulement la place d’une ombre – mais la tenir en sûreté. Quant au langage, je recherche une pauvreté que je voudrais dressées contre les ruses contemporaines… Tout cela ne va pas évidemment sans quelque « solennité étranglée »… Enfin vous verrez…
Nous vous adressons à tous deux nos affectueuses pensées