M. n’a pas à vous juger. C’est un technicien chargé d’accomplir un travail selon certaines règles dont il n’est pas l’inventeur. C’est pourquoi vos arguments ne peuvent le concerner, mais doivent avoir le poids par la suite (s’il y a une suite) dans l’esprit de ceux qui auront à les apprécier.
Il paraîtra sans doute évident aux esprits habitués à réduire les faits à une sorte d’algèbre, que la caution d’un nom célèbre donné à un livre est de nature à attirer l’attention sur ce livre, à le rendre aussitôt célèbre. Par conséquent cette caution constitue bien « l’aide et assistance » à la propagation du message qu’il contient. Je vous expose le point de vue de ceux qui vous
Que vos pages ne contiennent rien de délictueux n’est pas la question : leur présence a eu pour effet de mettre en valeur d’autres pages qui, elles, sont probablement dangereuses puisque vous auriez souhaité les voir enfermées à clef dans un coffret, me dites-vous.
Enfin je verrai M. et ferai de mon mieux.
Dans quel n° de la N. R. F. publiez-vous les pages de Cassilda ? Merci de penser à elle.
Affectueusement à vous
[Imago est, non legitur]