8, rue Gabrielle d’Estrées
Vanves (Seine)
Cher Jean Paulhan, j’ai repris ces deux notes mais je ne sais si vous y teniez réellement. Peut-être aurais-je dû les déchirer ?
J'ai resserré ma note sur Céline et ajouté quelques précisions.
Pour Jouhandeau, c’était plus difficile. J'expose brièvement une prise de position très simple mais bien intéressante dans sa simplicité. Ce n’est pas moi qui trouve que, sans Dieu, l’orgueil de J. n’aurait plus de sens. C'est J. lui-même. Quant à Sartre, il tient que chez l’homme, l’existence précède l’essence : ne peut-on dire que l’homme choisit son essence puisqu’il sera ce qu’il se fera ? J'ai d’ailleurs changé la phrase de ma note.
Bien à vous,